Datable entre 1120 et 1130, cette coupole, qualifiée de " Chef-d'oeuvre de science, de technique et de bon goût " par L. Golvin, est d'autant plus remarquable qu'elle est l'unique témoignage de l'art des Almoravides dans leur propre capitale. Faisant coexister deux tendances opposées, sobriété de l'architecture extérieure et exubérance de la décoration intérieure, elle dévoile les prémices de l'art dit "hispano-mauresque". Les travaux de restauration ont été conduits par le cabinet Ayoub Azzouzi, architecte urbaniste à Marrakech. |